Préface
hiroki Endo
J'ai toujours été convaincu que "de la bataille rien ne peut naitre". Qund j'y pense, depuis mon enfance, je n'ai jamais été doués pour la bagarre. ben oui, je perds à tous les coups! Avec son modele économique, son principe de libre concurrence, c'est quoi ces revendications anti-guerre ? bon c'est vrai que moi non plus, j'aime pas trop, mais que voulez-vous, les modèle d'armes et les engins de guerre ça me botte ! c'est un peu comme adorer les films de bandits sans pour autant faire ami-ami avec la mafia. Non je m'égare. j'ai toujours pensé : "gagner, perdre ? Oui et après ?"
il ne suffit pas de travailler et de persévérer pour devenir champion, car ça ne dure qu'un temps. Quand j'etais lycéen, je me voilais la face en me disant : "se battre ne sert à rien. Moi dans l'avenir je ne veut pas vivre dans du noir et blanc! Toutes les nuances doivent exister dans ce monde!".
Pourtant, maintenat que j'ai passé la trentaine, quand je compare ceux qui ont gagné des titres et ceux qui s'ent tirent toujours avec la moyenne, j'avoue qu'il vaut mieux faire partie de la premiere catégorie. Meme si la chute est inévitable, avec plus d'experience, plus de coup du destin, on devient plus fort. je ne critique pas la stabilité, loin de la. Par exemple, votre serviteur ecrit ces lignes dans un cfé, alors que dans de lointaines contrées, des hommes meurent de misère ou dans des guerres, ça montre que la sécurité dont nous jouissons à present est bien precaire. C'est bien pour ca que le réalisateur Martin Scorcese criait à propos de son film Racing Bull (une biographie du boxeur Jack la Motta) : "la vie est le bizness sont comme des trains en marche, regarder ce film c'est comm s'en vacciner"; Ce sont ceux qui se sont battus et ont survécu à de nombreuses batailles qui peuvent dire : "Il n'y a rie, de la bataille rien ne nait", et je voudrais être l'un d'eux.
